• Ce sont des écorces d'arbre de la Pépinière du Point du Jour.
    Les photos sont prises en octobre.
    Prunus et Betula ...

         






    De belles écorces d'arbre à voir aussi sur la page de cette pépinière :
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    Les dunes de Trez Goarem sont un espace protégé par le conservatoire du Littoral.

    « La Presqu'île du Cap Sizun est cette pointe du sud de la Bretagne qui pénètre profondément dans la mer d'Iroise. La chaussée de Sein et ses récifs prolongent vers l'Ouest cette presqu'île rugueuse et belle. Le navigateur devine l'infini du voyage en observant ces pointillés de roches au milieu des courants dangereux mais si poissonneux.
    Il pourra s'abriter au revers de quelques anfractuosités de landes pour débarquer dans de minuscules ports qui ont pour nom " heign hass " ou " feunteun aod ". Si l'Ouest du Cap lui paraît trop tourmenté et trop difficile à aborder, il pourra naviguer vers l'est où le climat est moins rude comme en témoigne la végétation moins rase.

    Sur ces landes de bruyères à coussinet, le rose, le violet ou la brique concurrencent les jaunes de l'ajonc ou du genêt prostré. Sur les pelouses aérohalines, le crave à bec rouge ou les mouettes tridactyles trouvent la nourriture mais aussi le gîte.

    Le visiteur, submergé par la puissance des falaises et des landes, pourra retrouver, dans la baie des Trépassés ou sur les dunes de Trez Goarem dans l'anse du Cabestan, des espaces dunaires
    à la végétation extrêmement rare et fragile. » 

    Texte du site du Conservatoire du Littoral
    http://www.conservatoire-du-littoral.fr/front/process/Content.asp?rub=8&rubec=118

     

    Elles sont situées sur la commune d’Esquibien, à l’extrême ouest de la pointe Bretagne. C’est un lieu magique, sauvage, rude et parfois inhospitalier sous la tempête.

    Divers habitats naturels sont décrits ici et montrés en photo :

    http://habitats-naturels.fr/

    Les pelouses dites aérohalines, sont des pelouses soumises en permanence aux effets du vent et des embruns.

    Quelques unes des fleurs que j’ai prises en photo et que j’ai pu nommer, grâce à deux sites et deux livres.

    Le premier site décrit le Platier d’Oye, en bord de mer du Nord : http://platier.free.fr/geo.php

     

    Le second site sur la flore littorale : http://liboupat2.free.fr/Plantes/flor_lit/florlito.htm

     

    Le livre : « Plantes des Dunes Bretonnes » de Viviane Carlier et Loïc Tréhin ed. Yoran Embanner


    Le second : « Les plantes du littoral » de Jean David, aux ed. Gisserot.


    J’ai du mal avec la reconnaissance des cirses et des chardons, sans doute parce que je n’ai pas les bonnes méthodes d’observations et que mes photos sont trop partielles.

    Bugrane rampante maritime Ononis repens

    Pourpier de mer Honckenya peploides.

    Chardon penché Carduus nutans. ou cirse ?

    Liseron soldanelle Calystegia soldanella

    Cirse lancéolé Cirsum vulgare

    Panicaut maritime Eryngium maritimum

    Lotier corniculé Lotus corniculatus

    Orchis pyramidal  anacamptis pyramidalis

    Liseron des champs Convolvulus arvensis

    Giroflée des dunes

    Carotte sauvage,


    Euphraise "Casse Lunette"
    Euphrasia rostkoviana Hayne


     

     

     

     


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    "Sticky Wicket" est un jardin perdu au fond de la campagne, dans un petite village très typique de ce coin d'Angleterre. Il est le fruit du travail d'un couple d'agriculteurs qui , l'âge mûr venant, a constaté que la façon dont ce métier évoluait ne leur convenait plus.
    Leur but a été de créer un jardin auto suffisant en matière d'amendements et d'engrais, qui soit une source de nourriture et un refuge pour les animaux sauvages de la campagne environnante, et qui permette la ré introduction des espèces sauvages endémiques de plantes , notamment des prairies, qui disparaissent très rapidement.


    Le jardin des grenouilles :

     

     

    La grande plate bande de l'entrée :

     

     

    La grande bordure de vivaces et graminées :

     


    Le labyrinthe des thyms , où sont étudiées les périodes de floraison par rapport aux insectes présents, notament pour fournir le plus de nourriture possible avant la mauvaise saison :



    Tous les déchets verts, tailles et coupes, sont ré utilisés, en paillage, compost, ou pour réaliser des quantités de petits meubles,
    objets et tressages
    :

     

     

     

     

     

    Une autre vue de la grande bordure :

     

     

    Au fond du jardin, on retourne vers la sauvagerie , les végétaux utilisés sont très simples, les arbustes poussent librement, et un peu plus loin, une prairie d'herbe a été remise en état (décapage du sol pour l'appauvrir, et permettre aux graminées et végétaux de pairie de pousser normalement)

     

     


    L'accueil de Pam Lewis, la propriétaire, est à la fois chaleureux et didactique, sans excès cependant !
    Dans la tradition anglaise, un panier recueille le prix de votre entrée, vous faites vous mêmes votre thé et vous servez des gâteaux maison, le prix modique allant à une "ferme de papillons", et vous pouvez aller et venir en toute liberté, vous gorger de la vue des massifs et des compositions, guetter des minutes durant les écureuils et les oiseaux, la liberté est totale, et le désir de se fondre dans l'ensemble est toujours présent !


    Ce jardin est hélas fermé à la visite depuis deux ans, la mort du mari de Pam et ses activités l'empêchant de consacrer tout le temps nécessaire à son jardin .

    Elle a écrit quelques livres développant les sujets mis en pratique dans le jardin, et elle travaille activement à la protection des prairies sauvage, qui disparaissent très vite au profit de constructions ou de cultures.

     


    Nota : les photos sont pour la plupart des diapos scanées, ce qui explique leur qualité moyenne, 2 ou 3 ont été empruntées au site du jardin
    http://www.stickywicketgarden.co.uk/

     


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    Dès l'entrée l'on reste subjugué par l'équilibre des formes ...
    Du grand art ! ... L'allée semble couler comme une douce rivière,
    dégageant un sentiment de sérénité... d'un peu de nostalgie aussi ...


    Le champ de bataille, où les coquelicots
    symbolisent le sang versé ...
    Et pourtant, quelle quiétude ...




    Changement radical, ombre inquiétante ...
    Impressionnant ...


    La cathédrale des roses ... Waouhhhhhh ...
    Il faudra revenir en juin !


    Petit sentier de brique
    sous une arche de noisetier :


    Encore une curiosité insolite ... des saules ...


    L'allée de la mer ...
    Étonnante ...
    Une idée pour grands jardins ...


    Le jardin géométrique.


    Le jardin des Topiaires.


    Vous trouverez tous les détails dans
    le très beau livre de Yves Gosse de Gore : " Sagesse et déraison au jardin" aux éditions Ulmer.

     


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    "à la recherche des émotions profondes ....." 

    Le savoir faire, l'imagination et la recherche de l'émotion sont intimement liés dans ce, ces jardins, devrait on dire, où les scènes vastes et diverses s'enchainent, se répondent . 

    En voici quelques unes, en vrac, pour vous plonger dans l'univers d'un homme simple et savant, au sourire et au parler modeste, qui n'aime rien tant qu'inventer, et partager . 

     

    Certainement la scène la plus connue , "les gnomes" :






     Prunus serrula :
     

     
    Cette scène est appelée "nostalgie" :

     

    Les moaïs de l'Ile de Pâques ... :
     
     

    Quelques scènes diverses :

      

      

      

      

     

     

     


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